Voici un passage d’Ella Balaert sur la difficulté d’exister dans ce monde, qui est devenu mortel. L’injustice, autrefois, vous condamnait à la portion congrue ; aujourd’hui elle s’attaque à votre existence elle-même :
« Le monde est un abattoir pérenne : moi d’abord et l’autre après, plus tard, derrière, jamais, chacun pour soi chacun chez soi, conditionnés sous vide les hommes, vendus au poids de l’image et transformés sur place dans nos laboratoires.
Allez ne t’emballe pas, ça ne sert à rien ça ne te conduira nulle part. Adapte-toi à ce monde. Il le faut. Trouves-y ton lieu parce que de toute façon, il n’y a pas de non-lieu possible, les utopies ont vécu. On est forcément responsable. Trouve ta place.
Trouve ta place dans ce monde
ou alors quitte-le. »
je quitte~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
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Ce livre, et mon blog sont tout entiers tournés
vers une réponse plus positive et offensive…
C’est la société qui parle ainsi
et c’est à nous de répondre
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¡Qué triste manera de ver la vida! Si eso se considera nuevo, no lo es. Ya los epicúreos buscaban « su lugar » en el mundo del placer efímero. Si esta vida (es decir, esta forma de vivir) es todo cuanto hay, ¡cuán desdichados somos los seres humanos y cuán inútil es nuestra existencia!
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Es la sociedad que habla asi
Nosotros, tenemos que responder…
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Oh là là, mais qu’est- ce que c’est que cette déréliction qui empoisse tout le net aujourd’hui ? Toute cette morbidité ? Être responsable, c’est aussi une façon d’être en vie et de vouloir créer une place, non 🙂 ?
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Si vous le lisez, vous verrez aussi bien l’humour que l’espoir
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Je l’espère bien, j’avoue avoir réagi un peu primairement mais je sens comme un abandon de tristesse dans beaucoup de choses que je lis en ce moment et je suis pas certaine que ce soit la seule réponse possible à la difficulté présente.
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Très profond votre propos!
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