PETITE REVUE DE PRESSE sur Suicide et Sacrifice
« Le philosophe français développe une idée intéressante : dominée par un souci d’ « hyperentabilité», notre système serait devenu globalement « suicideur », inoculant la peur au plus grand nombre par le sacrifice de quelques uns. »
(TECHNIKART)
« Nous sommes (serions) entrés dans une nouvelle phase du capitalisme : l’hypercapitalisme. Qu’entendre par là ? En bref, une société qui programme le suicide de ses membres, afin d’augmenter ses profits. »
(NON FICTION)
« L’hypercapitalisme opère donc un tri sélectif des existences, entre celles qui vont consacrer leur existence entière à l’hypertravail, et celles qui seront détruites. […] Le suicide est le mode de sélection idéal, car aucune forme de tri sélectif autoritaire des existences n’est viable. »
(MEDIAPART)
« Quand le travail devient une souffrance »
(PAGE)
« Livre court mais dense et puissant »
(Métapo info)
« Il participe d’un effort pour cerner le mode de subjectivation dominant de notre époque. Et l’émancipation humaine passe aussi par là. »
(L’HUMANITE)
« Le propre d’un ouvrage fulgurant est d’être dense, lumineux, et comme la foudre renfermer une énergie vitale »
(Le chemin de Benoit)
« Questions violentes auxquelles, on le voit, Galibert apporte des réponses elles-mêmes violentes. Réponses qu’il prête au cynisme de l’hypercapitalisme, et pour les dénoncer (Ecologie et émancipation). »
« Le texte et le raisonnement sont accessibles à tous et ce travail de vulgarisation, mais aussi de réflexion sur ce sujet presque tabou, est absolument édifiant. »
(Papa pédago)
« Jean-Paul Galibert propose une réflexion philosophique sur la société moderne de l’hypercapitalisme. Ce livre permet de cartographier les nouvelles formes d’aliénation. »
(Zones subversives)
« L’intérêt du livre de Jean-Paul Galibert – qui va toujours à l’essentiel – est d’établir une relation dialectique entre suicide et hypercapitalisme, un mode de production qui préfère « détruire que produire ».
(Le grand soir)
« rien n’est entrepris contre ce phénomène mortifère, bien au contraire… »
(Tumeursscope)
“Cet essai de Galibert a une grande force, celle de ramener le suicide à une question politique et non psychologique.”
(Trahir, revue canadienne)
Le seul philosophe qui me fasse aimer la philosophie..Tel un funambule qui se promènerait entre le ciel et la terre en ne reniant ni l’un ni l’autre ..Une seule envie de continuer à le suivre.
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