Si tout,
depuis le plus infime, est
possiblement ici, possiblement ailleurs,
il n’y a pas de limite.
Rions
du langage
qui grossièrement,
comme ces dessins d’enfants,
entoure d’un trait noir la moindre silhouette.
Si nous les libérions des mots, les choses flotteraient,
s’enfonceraient et se dissoudraient enfin dans l’air ambiant.
Entre les choses, nous verrions tout au plus des zones
de moindre présence, ou de plus grand mélange.
Et, entre les vides jamais vides,
des choses jamais choses.
Sous votre plume, ce propos paraît étonnamment unidimensionnel.
Il s’inscrit en faux par rapport à la citation d’Huxley postée ailleurs.
Et il me fait penser à ce clip de Soundgarden :
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Je publie sans bien voir le rapport…
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Mais vous avez hésité à publier. Pourquoi donc ?
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Nullement! j’ai manqué de temps, et publié après coup, un peu en désordre
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Rien de tel qu’un certain chaos, à condition qu’il soit de bienveillante nature, et que les contradictions qui y fleurissent toujours en happy end s’épanouissent…
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