Tout monde est
un tout
Car pour être
un monde
Il faut qu’il soit un
Il faut qu’il soit tout
Il y
parvient
en plaçant
sur un seul plan
tout plein de choses
de plein de mondes
De là vient
qu’un monde est toujours
plein de riens
venus de tous les mondes
C’est cette plénitude cosmopolite
qui fait que chaque monde
se prend pour le réel.
Il faut de tout
pour faire un monde:
un peu de chaque tout,
un peu de chaque monde.
Certains mondes sont des mouroirs
Comme les ville impériales,
ces mondes immondes
cannibales des
autres.
D’autres sont seulement des miroirs
comme les mots et !es monades.
Ils réfléchissent poliment,
faisant place
à chaque
chose.
D’autres enfin sont les deux :
Ce sont toutes les algues
comme les choses
et les hommes.
Les choses ont une composition
en laquelle entrent,
impunément,
plein de choses
de plein de
mondes.
Les hommes
ont une ou des constitutions
dans lesquelles entrent, discrètement,
tous les autres hommes.
Dès
son anatomie,
l’homme est un animal
politique.
Et pourquoi en faire ?
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Préfèreriez-vous que nous soyons des dieux paresseux?
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Et pourquoi pas ? Il me semble qu’il n’y a rien de pressé dans cette affaire, rien de vraiment nécessaire non plus … la paresse peut devenir un art .. .
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Mais pourtant point d’art sans quelque création…
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Et point de création si on ne prend pas son temps 🙂
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le dernier mot n’est-il pas de trop ?
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Vous craignez le pléonasme?
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Pour le moment mon monde est vide ou bien plein de rien. Mon monde est tel que je veux le voir disparaître, le voir ailleurs dans un autre monde, dans le monde au delà des mondes, sans temps, sans espace, sans rien.
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Si votre monde est plein de rien,
il faut mettre rien au pluriel:
plein de riens, c’est déjà beaucoup,
surtout s’il n’y a rien d’autre…
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Plein de riens oui. J’aurai du dire sans doute plus exactement vide. Le vide constitue la majeure partie de l’univers ou devrai-je dire des univers. Donc en ce moment je suis une coquille vide !
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Rien n’est vide,
c’est cela l’avantage
d’une pensée du rien…
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Perdonam ont dit que l’homme est un animal, mais vous avez oublié quelque chose, il est un animal irrationnel, il y a des animaux qui ont plus de bon sens que les humains et sont plus rationnels que leur instinct animal, mais détestent la comparaison, parce qu’il ya des animaux ils se sont nourris d’autres espcie différents, il y a des animaux qui attendent rien en retour comme l’homme à leurs généreux sacrifices que le cours de l’homme prévu .pour ne sont pas tous égaux, et comment les animaux ressentent la même chose, mais ne vous méprenez pas, nous sommes des êtres ,, son de notre propre cupidité, l’envie, quand vous avez vu un animal vend son propre fils pour l’argent?
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Vous décrivez l’atome. Tout s’organise. Avec qui l’on est, avec qui l’on vit. Comment faire son monde non plus à son image comme à son idée. C’est impossible. C’est amusant, il n’y a plus qu’à faire rouler la boule noire et dire que c’est un monde. J’ai pourtant une réponse : dessiner de toutes les couleurs dessus. Avoir projeté le trou noir en son point manquant n’est plus la chaîne de l’évolution. Jean-Yves Leloup dit que l’homme gagne quand l’ange et l’animal ont livré bataille. Je ne crois pas que l’homme soit un animal doué de raison. L’homme est homme. L’ange donne l’arme, l’intelligence divine met la lumière, l’animal devra sortir de sa tannière. Une idée va mourir, une nouvelle va naître. L’homme n’est pas un monde, il n’est pas la première création, il est la première idée.
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regardez ça : https://tarogramme.wordpress.com/2016/07/26/sauver-le-monde/
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Reblogged this on anecdotines and commented:
Le grand regret de Denis est que personne n’était entré dans son monde. Je m’aperçois que je fais parti du lot. Sans doute son site de peintures, son blog de photos et webblog ne sont qu’une pauvre petite entrée dans son monde. Mon souhait est d’y avoir accès maintenant qu’il n’est plus dans notre monde de terriens. Je crois qu’il me le faut si je veux avoir une chance de le retrouver un jour dans un au delà, un des multiples aux delàs un des infinités de mondes possibles, un des infinités d’univers …
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Très heureux de la fécondité de ces rebonds,
par delà la tristesse et la joie
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