Voici dix ou quinze ans qu’Ella Balaert les côtoie, les écoute, mieux: leur propose d’écrire. Ses ateliers d’écriture, un peu partout en France, établissent, pour quelques heures ou quelques jours, une relation aussi pudique qu’intime, qui lui a appris peu à peu les mille et une voies par où s’expriment les souffrances, les émois, les solidarités de ce petit peuple d’invisible, qui connaît toutes les questions de l’adulte sans disposer de ces ressources. Elle en a tiré un roman plein de tact, sur dix jeunes, rassemblés par hasard dans la même classe: Quand on a dix sept ans, qui vient d’être réédité chez Rageot. Un livre à lire d’urgence, car rien n’y est caché de ce qui est vécu: mais chaque détresse est révélée par une loupe, de douceur et d’espoir, sur l’humanité qui vient.
merci, ce livre m’a l’air vraiment passionnant. Je vais m’y intéresser pour ma prochaine lecture.
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Vous me donnerez votre avis…
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d’accord. Ce ne sera peut-être pas de suite. Mais je le ferais !
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Bonjour,
Je crois que ce livre peut aider ma fille de 15 ans a mieux comprendre le monde qui l’entoure et sentir qu’elle n’est pas seule.
Je vais l’acheter et le lire, puis je l’inviterai si elle le souhaite à en faire sa lecture.
Merci
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Merci à vous
je crois qu’il peut l’aider, mais lisez le d’abord
Le ton peut heurter, et être mal compris
par une lecture trop rapide:
il faut bien comprendre que ce n’est pas moi,
mais l’hypercapitalisme qui parle,
et fait les titres de chapitre…
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J’en prend bonne note
Merci
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