Toute une philosophie, en un seul mot ?

Une philosophie peut-elle se résumer en un seul mot ?

Souhaitez-vous faire un petit test de philosophie ?

Il s’agit de composer une phrase de trois mots

dont les deux premiers sont fixés d’avance.

Chaque phrase commence par « Tout est »

et c’est à vous de choisir le 3ème mot.

Inscrivez vos phrases ci-dessous,

et dans le prochain billet,

de grands philosophes

viendront jouer

avec nous.

Merci !

89 thoughts on “Toute une philosophie, en un seul mot ?

          1. Vous pouviez le nier oui, chaque être n’est pourtant qu’une combinaison d’atomes libres vaguants librement, librement c’est à dire sans autre contrainte que celle de la matière. L’homme lui répond à la liberté Sartrienne, ni plus ni moins. La détermination de son être dans la mesure du possible.

            Existence vous avez dit ?

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              1. Les deux sont compatibles voyons…la contrainte n’est pas une barrière à la liberté. La coercition peut-être si Hayek voulait apparaître. Je trouve votre conception de la liberté assez étroite :p (je taquine évidemment comme vous le faites 😉 )

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        1. L’auteur du mal lui-même peut-il y croire?
          Pourquoi aucun violeur ne se défend-il
          en plaidant la bonne action?
          la grande différence, au fond,
          c’est qu’il y a toujours des doutes sur le bien,
          alors qu’il n’y en a aucun sur le mal,
          un peu comme si le bien était relatif,
          et le mal absolu.

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  1. “Tout est un. (Abraham)
    Tout est amour. (Jésus-Christ)
    Tout est économique. (Karl Marx)
    Tout est sexuel. (Sigmund Freud)
    Tout est relatif. (Albert Einstein)
    Et ensuite ?”
    — Bernard Werber, in ‘Le Jour des Fourmis’, 1993

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            1. Mais pourquoi,
              soudain si vive à vous lire,
              cette impression de jeu de mot?
              “Là quand”, et “riche ire” ont un sens, mais Badiou?
              En occitan, boudiou, c’est le Bon Dieu;
              Badiou, on a peur de deviner…

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        1. La vie? Les plantes s’aiment?
          Je ne suis pas sûr que les organismes vivants
          aient précisément des relations d’amour,
          même au sens métaphorique.
          Je ne veux pas idéaliser l’amour humain,
          mais je crois que, jusque dans
          ses défauts ou ses défaites,
          il est humain, justement.

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          1. Je ne parlais pas de la vie au sens biologique du terme mais seulement de la vie humaine qui est la seule que je connaisse. Je me garderais bien de parler à la place des autres animaux ou même des plantes, mais dans ce domaine, nous humains, aurions probablement beaucoup à apprendre d’eux (si nous étions moins imbus de notre condition humaine justement…).

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    1. Ce qui est singulier, c’est que si cette phrase
      était vraie au sens strict, il n’y aurait rien de perçu,
      puisque le perçu serait lui-même perception.
      C’est un petit peu comme si l’on disait
      que ce qui est en dehors de nous
      serait tout entier, dans notre relation à lui.
      En fait, vous êtes plus restrictif encore que Berkeley,
      qui admettait dans l’être percevoir, mais aussi être perçu.
      (sans pour autant donner au perçu une réalité extérieure)

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      1. Face à un choix il faut toujours voir l’instant devenir un passé, cet instant nous donne des choix et ne dure pas. Il y a toujours quelque chose qui prend place dans la vie, qui dure plus ou moins bien dans sa vie. Chaque décision a ses conséquences et décider veut dire qu’il faut accepter les conséquences suivant une décision.

        Dans la nature c’est une question de mourir ou survivre, finalement l’être humain a juste prolongé sa propre souffrance par ses actes. Pour vivre il est important de prendre une décision, l’homme a besoin d’un intérêt pour se sentir vivant, un être humain est facilement malheureux sans un lien de quelque sorte envers les autres. Pour faire partie de la société il faut prendre une décision qui correspond à son environnement, trouver un bon compromis pour pouvoir satisfaire ses besoins.

        Comme maître des animaux domestiques on se rend compte que les bêtes sont là pour un court temps et qu’il faut s’en profiter, la vieillissement est bien visible et en étudiant le comportement on se rend compte que cela s’applique même à nous les êtres humains, juste que notre vie dure généralement entre 70 et 90 ans par à la longévité d’un chien. Mais chaque choix a un impact sur les autres.

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