Ma philosophie est comme un dé dont voici les six faces :
Tout est un (c’est le principe du RIEN)
Le mal est destruction (c’est le principe du NEANT)
L’être est utopie (c’est le principe de l’ETRE)
Chaque chose est imaginaire (c’est le principe du MONDE)
Tout est réel (c’est le principe du REEL)
Tout est possible (c’est le principe du JEU)
Ce cube se lance à propos de chaque chose comme un dé :
chaque face à son tour peut devenir le principe de base
et chaque autre suggérer sa propre piste à la pensée.
Toutes sont des questions qui permettent d’explorer
comme autant de facettes, les possibles d’une chose.
La Volonté anime le Tout !
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pourquoi?
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Avez-vous lu “L’Homme dé”, de Luke Reinhardt ?
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Non
j’y cours
Merci
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Il y est surtout dit que “Tout est hasard”, principe essentiel du dé (et de la vie), en résonance à votre liste. Bonne lecture !
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acheté et commencé
je vous dirai
merci
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Pourquoi “l’être est-[il] une utopie” ? On ne peut être en aucun lieu (selon l’étymologie de l’utopie) ?
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Parce que l’être est idéal
il n’est pas ce qui est, mais ce qui doit être
comme la liberté, la justice, le bonheur.
Les propres de l’homme restent à venir
à obtenir, à conquérir…
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“L’être est utopie” …..C’est la politesse du désespoir plutot.
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La formule est superbe
mais je continue à penser l’inverse…
L’utopie est la rampe de lancement de l’espoir
Rien de grand ne s’est lancé sans l’idée d’un utopiste,
sans l’énergie que donne à un groupe
la fait même d’une utopie
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j’ai d’abord eu la même réaction que Jasmins de nuit, mais en lisant ta réponse, je saisis!
et puis l’utopie c’est aussi la vision d’une réalité idéale.
un être en devenir et avec l’utopie, l’espoir…
pas mal du tout!
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LE DÉ AU BOUT DU DOIGT
NOUS PERDONS TANT DE CHOSES…en route. Et tant de mots, tant de noms, propres ou égarés dans notre langue et ses annexes- pour moi l’espagnol et l’occitan que j’entends et lis mais ne saurais utiliser dans une conversation…
UNE PERTE que certains s’acharnent à combler- journaux intimes lus et relus, dictionnaires et collection de tous ces ouvrages à la mode, qui refont le monde d’avant, ses photos, ses métiers, ses maîtres et ses dictées…Comme si l’on pouvait rejouer, vieillissant, se refaire…d’une jeunesse perdue. Prendre sa revanche…Alors que il n’y a pas de revanche possible, ni souhaitable.
ON PEUT, par contre, poursuivre sa quête de mots nouveaux, de noms propres ou égarés dans quelques nouvelles conversations, lectures, curiosités, ET CES ÉCRITS que l’on essaie, sans épargner ses forces, les gaspillant certainement, au regard des gens prudents et qui se ferment peu à peu, pour les autres et pour eux-mêmes, sur leurs petits secrets.
ET POURTANT eux aussi furent ces enfants, saluant les amis, les parents -et parfois, chaque habitant du village qu’il connaissait un à un- et laissant aller sa langue qui peu à peu s’accroissait de mots, de tant de mots qui servaient à dire tout…et n’importe quoi.
CHEMIN DU TEXTE SE FAISANT, j’ai revu ma rue unique, rencontrée dès que l’on descendait la marche devant la porte d’entrée de notre maison…
MAIS JE VAIS ROMPRE là le fil, d’un coup de dent de mère, qui portait alors le dé au bout d’un doigt- ne me demandez pas lequel!
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Reblogged this on Guerrilla Zen.
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merci beaucoup!
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Je ne crois pas au hasard, je crois que tout est lié, tout est imbriqué, qu’il y a un rapport entre les évènements. Et quand on comprend justement ces rapports, alors on comprend pourquoi nous en sommes où nous en sommes dans notre vie. L’effet papillon…
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A reblogué ceci sur ombrages.
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Grand merci!
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Avec plaisir 🙂 Je poursuis mes réflexions de mon côté et je suis toujours, quoique ponctuellement, ce que vous faites ici…Continuez !
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