Tous les lieux, tous les moments, tous les milieux, dès lors qu’ils se closent et permettent la station prolongée, ou la fréquentation régulière, sont des plans de réalité, parce qu’ils permettent le non départ d’un point de vue.
Les plans de réalité sont un peu l’inverse des monades de Leibniz. Ils ne permettent de voir les autres que pour préférer ce que l’on a, ce que l’on est. On peut certes déplorer le plan de réalité où l’on se trouve, mais le plan de réalité a une perception telle qu’y rester y semble toujours préférable à en changer.
Pour un plan, point n’est besoin d’alternative. Ni décor, ni faire valoir, ni double jeu. La solitude n’a pas besoin des autres.
existences! 
Ma solitude est elle interdite de plan de réalité ?
Ces réalités cloisonnent elles ma vie ?
Pourtant quel plaisir de passer d’un plan à l’autre avec ou sans ma p’tite solitude…
Bonne journée !
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Les plans de réalité sont donc des bulles?
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Il ya un jeu des plans, qui ne sont donc pas des bulles. Et ce jeu ne concerne pas seulement l’imaginaire. Mais il faut pour cela surmonter la tendance des plans à s’ignorer. C’est cette conégation, et son poids, qui est la pente, si présente, au néant. Face à elle, l’être est jeu, traversée des plans, création, connexion, branchement, surperposition, transparence, fluidité, flou. Pour exister, il faut troubler les plans.
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Pourquoi pour exiter il faut trobler les plans? N’est pas assez les attraverser?
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troubler, c’est rendre confus, confondre. Vouloir, non seulement les traverser, mais qu’ils se mèlent
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“La solitude n’a pas besoin des autres.”
pas sûre de partager cette affirmation, cela me pose questions….
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C’est un peu fait pour…
Vous me direz vos réponses?
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